Un peu de presse pour les quarante ans

à écouter, à voir, à lire….

Marc Alain Ouaknin (Talmudiques sur France Culture) reçoit Patricia Farazzi et Michel Valensi pour les 40 ans de l’éclat.

Ruben Honigmann (Akadem) reçoit Michel Valensi pour les 40 ans de l’éclat.

Florent Georgesco publie une page dans Le Monde  des livres pour les 40 ans de l’éclat.

Près d’une trentaine de libraires ont ‘montré’ le fonds de l’éclat au cours du premier semestre. Un grand merci aux libraires qui nous ont soutenu et tout particulièrement (dans le désordre) : Dialogues (Brest), La fleur qui pousse (Dijon), La petite Ourcq (Paris 19e), La Friche (Paris 11e), Le bal des ardents (Lyon), La librairie du Cap (Saint Laurent du Var), Masséna (Nice), Librairie du Cédrat (Strasbourg), Quai des Brumes (Strasbourg), Librairie des Nouveautés (Paris 10e),  Ombres blanches (Toulouse), L’écume des pages (Paris 6e), Compagnie (Paris 5e), Fnac Montparnasse (Paris 6e), Tropismes (Bruxelles), Mollat (Bordeaux), Les Traversées (Paris 5e), L’odeur du temps (Marseille), Le Livre (Tours), Le Grain des mots (Montpellier), Le silence de la mer (Vannes), Grangier (Dijon), Maupetit (Marseille), Tschann (Paris 6e)…. L’éclat sera présent tout l’été à la librairie L’Atelier (Paris 20e). Vous trouverez nos livres dans ces différentes librairies et ailleurs…

Patricia Farazzi a en outre été l’invitée de Marc-Alain Ouaknin pour une seconde émission de Talmudiques : « la littérature entre la grâce et le jugement », à propos de L’étoile et le flot et de L’archipel vertical, que Jordan, libraire à la librairie des Cordeliers (Romans sur Isère) a lu et aimé. Il écrit : « L’archipel vertical est cet objet entre deux arts, l’écriture et la photographie, envoûtant, questionnant, mélancolique et infiniment beau. C’est le portrait ondoyant d’une ville et de ses habitants anonymes. En lisant, j’ai pensé à Philippe Jaccottet, Jeanne Benameur et Paul Auster. Ce texte habite une constellation lumineuse, c’est certain, polychrome, brillante, éclairante. J’ai l’habitude (sacrilège ?), d’annoter les passages qui me plaisent. (Je corne aussi les pages). Je viens de finir ce petit livre et je remarque que toutes les pages contiennent au moins une phrase soulignée. Je ne connaissais pas Patricia Farazzi ; je pense à présent vouloir tout lire d’elle.»

Merci de votre fidélité

L’éclat