éditions de l'éclat, philosophie

EMMANUEL FOURNIER
CROIRE DEVOIR PENSER


 

 

 

 

57. Finir de penser

890. Penser vagabonder par penser. Croire devoir penser, sans jamais pouvoir cesser. Croire devoir errer et changer, sans jamais pouvoir se sédentariser ni se fixer. Sans pouvoir habiter ni conserver. Sans pouvoir nommer.

22. Manquer de finir de penser, faute de nommer.

607. Penser pour s'être laissé taire. Penser pour avoir questionné et n'avoir pas su se faire répondre. Penser pour avoir dû cesser de questionner. Penser pour avoir dû abandonner afin de continuer de vivre.

645. Cesser de questionner faute de savoir pourquoi continuer ou faute de le pouvoir, ou pour l'avoir décidé, etc. Puis cesser de penser ainsi.

901. Recommencer à idéaliser en pensant. Et à se dispenser de penser. Au lieu d'achever de penser.

115. Échapper à s'enfermer. Sauter. Ouvrir de-ci de-là. Inachever pour laisser à recommencer. Laisser pouvoir arriver. Et recommencer par peur d'avoir réussi.

113. Préférer penser n'en avoir pas fini, pour aimer penser continuer et recommencer.
Philosopher, non pour savoir comment penser, mais comme s'engager à continuer de penser.

501. Se soigner en pensant, sans croire devoir en finir, faute d'éclaircir ici sans embrouiller ailleurs.

199. Penser dessus penser, toujours en s'éloignant

 

58. Manquer de pouvoir

898. S'innocenter pour n'avoir pas pu agir autrement. Se condamner pour avoir voulu agir ainsi en dépit de n'avoir pas pu agir autrement.

 

694. Croire ne pas pouvoir, en illustrant ne pas pouvoir. Sans songer à chercher comment pouvoir. Et se déterminer à vivre et à penser ainsi, sans même songer pouvoir vivre et penser autrement.

 

665. Parfois se prendre à ne plus vouloir errer, à désirer se confier ou se repérer. Imaginer s'orienter en pensant, se régler pour se retrouver, se reconnaître et ne plus se perdre. Et peut-être se perdre autrement.

 

883. Pourquoi préjuger devoir se limiter et ne pas pouvoir aller autrement? Pourquoi se condamner à se répéter? Pourquoi croire devoir chercher à être sans devenir?

Comment se fuir?

 

316. Croire devoir s'humilier, s'interdire, se priver, etc. Croire devoir manquer de pouvoir, sans savoir pourquoi, et montrer ainsi ne pas se connaître.

 

682. Se limiter et se spécialiser, au point de ne plus voir autrement. Et de même : s'habituer à varier et diversifier, au point de ne plus imaginer penser autrement.

 

586. Préférer, sans devoir pouvoir universaliser de le justifier.

 

899. Se replier pour se développer. Se concentrer pour se dépasser. Se contraindre pour se faire résister ou pour ne pas se dissiper. Se mutiler en se limitant? Ou se stimuler? Chercher comment se dire de se convenir.

 

 

59. Savoir devoir

 

392. Se tromper en cherchant comment ne pas se tromper. Se plaire à voir se tromper, sous prétexte de se tromper de même. Croire devoir ne pas craindre de se tromper.

 

374. S'interdire, sans savoir pourquoi. S'interdire de s'interdire, sans savoir pourquoi. Etc. Au risque de s'aliéner autrement. Croire devoir comprendre pourquoi devoir s'interdire de s'interdire, pourquoi devoir s'interdire, etc.

 

961. Sembler se désordonner, en étant déterminé ou en ne l'étant pas. Sembler déterminer, en désordonnant ou non.

Déterminer en expliquant comment et pourquoi se désordonner.

Mythifier d'errer : ne jamais voir que se désordonner. Et mythifier de déterminer : ne jamais voir qu'obéir.

 

790. Penser se libérer en ignorant comment être déterminé.

Penser se libérer en découvrant comment être déterminé, comment s'y accorder et s'autonomiser.

Se déterminer ou être déterminé? Chercher plutôt à savoir comment.

 

789. S'engager pour se libérer. S'autonomiser en maîtrisant comment dépendre : ni se conformer et se perdre, ni différer et perdre, mais s'accorder de manière à pouvoir continuer à s'accorder.

 

599. Croire ne pas savoir aimer pour n'avoir pas su devoir aimer.

 

48. Ne pas croire fauter ou déchoir en acceptant de se laisser séduire ou en admettant de devoir préjuger.

Mais croire devoir essayer de déterminer comment s'y être laissé amener.

 

855. Savoir devoir. Pour s'identifier, chercher comment s'être métissé. Pour se définir, décrire comment avoir été influencé et comment y avoir réagi. Et penser tantôt manquer à décrire, tantôt manquer à saisir.

 

 

60. Croire croire

 

475. Se convaincre de constater en croyant découvrir. S'assurer de déduire en s'imaginant prouver. Formuler autrement en croyant construire, etc. Et ne montrer que croire.

 

849. Croire croire pour avoir pu croire. Et croire sous prétexte de croire croire.

 

600. Ne pas croire penser, juger et parler, sans croire. Croire devoir croire. Et oublier de désobéir.

 

61. Se demander ainsi, et déjà chercher à répondre, sans savoir pourquoi se demander ni pourquoi se demander ainsi. Déjà supposer devoir trouver, déjà admettre de croire voir, et déjà se mettre à imaginer décrire.

 

631. Dogmatiser, comme pour achever de se convaincre de croire et d'adhérer, au risque de ne plus tolérer.

 

381. Préjuger devoir universaliser. Préjuger devoir ne pas universaliser. Préjuger devoir varier ou ne pas devoir varier. Préjuger préjuger ou préjuger ne pas préjuger, etc.

Se justifier d'universaliser, de varier, de préjuger, etc.

 

758. Croire, sans devoir croire ni devoir croire croire.

 

756. Croire comme douter. Au moins en pensant pouvoir ne pas croire.

Croire comme douter de devoir se soumettre. Croire comme devoir travailler à se dépasser pour se soumettre et se rapprocher.

 

734. Manquer de croire croire faute de savoir douter. Exiger d'avoir douté de croire, pour s'autoriser à croire croire.

 

 

61. Douter de penser

 

416. Penser penser : croire devoir penser pour pouvoir –penser, et penser ne pas pouvoir ne pas penser. En déduire penser.

 

465. Penser de-ci de-là, mais toujours penser. Penser faire ou penser ne pas faire, mais toujours penser. Penser penser ou penser ne pas penser, mais toujours penser, etc. Douter de ne pas penser, désespérer de finir de penser.

 

47. Penser. Douter de penser. Penser douter de penser. Douter de penser douter de penser, etc.

Ou : pourquoi vouloir ne pas pouvoir douter de penser? Pourquoi croire le devoir? Pourquoi se résigner à penser?

 

595. Penser, comme croire, douter, juger, peser, évoquer, etc. Pourquoi penser ne pas pouvoir douter de penser?

Penser, comme peser, réfléchir, douter, juger, devoir, raisonner, spéculer, pouvoir, oser, méditer, voir, sentir, vouloir, songer, rêver, imaginer, se libérer, rappeler, se souvenir, évoquer, suggérer, s'intéresser, s'occuper, servir, prévoir, faire attention, prendre garde, estimer, admettre, savoir, croire, présumer, supposer, soupçonner, espérer, manquer, compter, projeter, concevoir, ...

 

857. Se vanter de penser, pour avoir emprunté ou avoir manqué de le faire. Craindre plutôt d'avoir si peu pensé.

Penser trop penser ou penser ne pas penser assez. Mais ne pas douter de penser.

 

902. Penser devoir gagner de penser et devoir le mériter !

 

536. Penser penser, comme pour se recommander de penser à penser.

 

95. Penser ne penser à rien ou ne parler de rien. Penser ne pas penser. Comme pour idéaliser.

 

 

62. Vouloir devoir

 

704. Éviter de se régler et de s'ennuyer. Chercher à respirer. Ne pas s'imposer de suivre, d'obéir ou de vénérer. Ne pas se guinder à penser.

 

709. Commencer par se régler pour se libérer de se régler. Se régler pour se retrouver après s'être perdu. Se régler pour se perdre après s'être trouvé.

 

830. Décider de s'engager, de se laisser subjuguer. S'asservir, se risquer sans connaître. Choisir de dépendre sans croire le devoir. S'enhardir à s'assujettir sans se détruire.

 

815. Déterminer comment s'attacher pour pouvoir se libérer, plutôt que s'imaginer n'être pas attaché et se laisser solliciter et ballotter au hasard.

 

668. Penser devoir commencer par étudier comment procéder pour ne pas risquer de se perdre à étudier et à penser. Penser errer par penser et devoir se régler à penser.

 

647. Embrouiller et obscurcir à force de chercher sans maîtriser et sans déterminer comment chercher. En se laissant entraîner.

 

673. Se régler, pour trop se savoir enclin à préjuger et à confondre. Se régler par crainte de se laisser égarer, aveugler, etc. Préférer choisir comment préjuger.

 

127. Se régler, pour avoir perdu. Se régler pour ne pas se perdre.

 

708. Croire s'aider en pensant. Sans croire devoir déterminer comment vivre et comment penser. Sans s'imposer de s'obéir.

 

 

63. Vouloir servir

 

232. S'angoisser de devoir choisir et déterminer comment vivre. Craindre de s'aventurer et l'assumer en croyant devoir se dépasser.

 

538. Durer pour servir ! Vouloir servir pour se justifier de vivre et de souffrir.

 

317. Croire et s'asservir pour se retrouver et se sécuriser.

 

967. Espérer être reconnu, chercher à briller, à guider et à durer, pour se conserver et s'embourgeoiser.

 

315. S'entraver à chercher à se faire réputer, en devant pour cela s'asservir et se conformer.

S'entraver à chercher à se cacher, en devant pour cela s'inquiéter, se troubler et se limiter.

 

312. Savoir ne pas pouvoir servir, ne pas devoir frapper, ni impressionner.

Mais aussi ne souhaiter aucunement servir et influencer. Trop aimer diversifier et différencier.

 

725. S'efforcer de s'organiser de sorte à se convenir et à s'ouvrir à agir et à penser.

667. Donner à se repérer. Sinon montrer ne pas comprendre.

 

16. Dire en choisissant de dire et en choisissant comment dire. Comme pour vouloir dire. Penser sembler vouloir, et penser vouloir sembler. Comme pour dire.

Et pourtant, chercher peut-être moins à dire qu'à laisser penser.

 

138. Individualiser et rapprocher. Pour opposer, pour laisser vivre, pour faire vivre. Se fier et croire assez pour continuer à se moquer et à exiger.

 

 

64. Finir de manquer

 

695. Penser se conformer. Penser sembler se conformer. Penser faire semblant de se conformer. Penser sembler faire semblant de se conformer, etc.

 

2. Penser devoir substantiver, réaliser, idéaliser, etc. Croyant manquer, penser devoir compléter et interpréter. Penser devoir achever.

Manquer, et nommer pour remplir.

 

302. Supposer pour expliquer. Et ainsi ajouter, comme pour dédoubler. Et croire résoudre en ne faisant qu'exprimer autrement, mais en risquant d'embrouiller davantage : après avoir dédoublé, s'inquiéter de devoir expliquer comment réunir et relier. A nouveau supposer, etc.

 

496. Préjuger devoir pouvoir en finir de chercher et de décrire. Puis croire avoir idéalisé sans pouvoir atteindre. Ensuite croire devoir s'interdire d'idéaliser. Et finir par se justifier de posséder, de profiter et d'exploiter.

 

19. Affirmer ne pas pouvoir connaître, pour imaginer comment s'interdire de dire connaître.

Prétendre ne pas exister, ne pas voir exister, ne pas avoir, pour se tourmenter à imaginer ne pas perdre ni manquer, etc.

Et de même, penser ne pas pouvoir changer.

 

304. Manquer, pour avoir théorisé en voulant se dépêcher d'atteindre. Pour s'être impatienté de désirer. Et pour s'être refusé d'atteindre, en idéalisant.

 

175. Nommer comme pour s'appareiller. Économiser de s'appareiller, comme pour se libérer. S'appauvrir en sorte à ne manquer de rien.

 

21. Abstraire en écrivant. Dépouiller, pour dénuder et exhiber. Ne pas tout enlever. Pour exciter. Et se dépêcher de s'ennuyer hélas, grâce à quoi, peut-être, ne jamais achever .

 

896. Finir de manquer, pour enfin finir de pouvoir.

 

 

65. Se libérer de pouvoir

 

655. Pourquoi croire devoir cultiver sous prétexte d'être doué? Pourquoi se croire tenu de continuer, pour avoir réussi?

 

710. Chercher à se perdre, à ne pas se retrouver, à s'aliéner. Rechercher comment errer, comment se déjouer de se repérer et se déshabituer de se reconnaître, comment échapper, s'échapper.

 

711. Agir pour se perdre, mais manquer de se perdre pour avoir agi. Et ainsi s'enfermer pour avoir voulu se libérer, etc.

Douter de jamais pouvoir se perdre, pour avoir décidé de penser ainsi.

 

451. Préférer croire ne pas pouvoir, et se sécuriser de ne pas pouvoir savoir.

Risquer de ne plus distinguer et de ne plus pouvoir utiliser. De sorte à se risquer à penser.

258. Ne pas s'arrêter à ergoter sous prétexte de ne pas comprendre, là où comprendre en avançant assez pour embrasser. Pourquoi penser sous prétexte de pouvoir penser?

 

365. Écrire pour ne pas se laisser entendre. Dessiner pour ne pas se laisser voir. Penser pour ne pas se laisser penser. Vivre pour ne pas se laisser vivre, etc.

 

247. Désespérer de penser : à la fois pour résister à s'abêtir par penser et pour éviter de cesser de penser.

 

420. S'affairer à penser et s'empêcher de rien faire d'autre, de se distraire.

 

 

66. Se libérer de croire

 

430. Vouloir sentir, sous prétexte de ne plus vouloir se laisser amener à croire. Protester de devoir croire et de devoir admettre. Vouloir ne plus croire, et finir par croire autrement.

 

500. Se rassurer en ne se laissant pas tenter de supposer. Renoncer à créer et à entreprendre d'expliquer. Penser n'arriver à se satisfaire qu'en se contentant de décrire et de disposer, sans rien construire, etc. Se consacrer à ordonner, pour éclaircir ou expliquer autrement.

 

485. Croire devoir se contenter de décrire. Et croire préjuger se contenter de décrire.

 

956. Pourquoi s'empêcher de faire comme si, en le sachant? Pourquoi ne pas se risquer à supposer, à complexifier, à construire, etc.? Pourquoi devoir se l'interdire sous prétexte de craindre de s'abrutir et de s'abuser? Pourquoi se mutiler au lieu de s'inciter à veiller?

 

997. Ou bien se convaincre autrement : en se laissant pouvoir échapper.

388. Oublier de se protéger et d'échapper à s'enfermer. Oublier de se préserver de se désespérer. Oublier de se réserver.

 

423. Pour se libérer de croire, commencer par s'aider en substantivant : nommer, définir, former ou concevoir, etc. Se sentir enclin à croire et à ontologiser. Ensuite chercher à comprendre pourquoi penser ontologiser. Enfin se pousser à abuser de nommer et d'ontologiser, comme pour s'immuniser et apprendre à le faire sans s'inquiéter.

 

 

67. Pouvoir douter

 

428. S'appuyer pour commencer à douter. Mais ensuite, douter là où s'être appuyé, et douter même de s'être appuyé.

 

209. Choisir de s'exprimer de manière à pouvoir douter. Et déjà se laisser présumer. Et risquer de mythifier, risquer de s'empêcher de douter ou de penser autrement, etc.

 

407. Commencer par nommer. Sans y penser. En parlant. Et déjà manquer de pouvoir douter.

Nommer, et préjuger déjà. Nommer, et admettre déjà, se laisser faire déjà. Sans y penser, sans le vouloir. Ne jamais peut-être nommer sans supposer et sans déterminer déjà comment finir et s'assurer. Et déjà douter de s'être interrogé.

 

65. S'inquiéter à questionner, en préjugeant devoir le faire, sous prétexte de pouvoir le faire.

Et s'inquiéter aussi en se prescrivant de ne pas se questionner ou en croyant devoir s'en guérir.

 

368. Constater là où ne pas devoir douter, et supposer là où pouvoir douter. Penser éclaircir en constatant plutôt qu'en supposant.

 

569. Penser pouvoir douter, sans pourtant penser devoir douter. Penser pouvoir ne pas douter, sans pourtant s'aveugler ni s'abrutir.

 

578. Se fier, en ne sachant pas comment douter ni pourquoi. Ou en constatant ne plus pouvoir douter sans se mystifier.

Pour se rassurer, craindre de se mystifier à vouloir toujours douter.

 

613. Décider où ne pas pouvoir douter, comme pour choisir comment préjuger pour pouvoir juger. Pour penser, décider comment penser ne plus pouvoir penser.

 

 

68. Manquer de douter

 

579. Épouser, en craignant de manquer. Admettre sans douter ni critiquer, en craignant d'ignorer. Se précipiter, se conformer, négliger, etc., en manquant de douter.

 

545. Penser devoir commencer par douter et par se critiquer, pour pouvoir ensuite se fonder et se garantir de ne plus douter. Ou bien, penser commencer par préjuger devoir se fonder et ne plus douter.

 

267. Se savoir enclin à croire sans critiquer, et à vénérer sans vérifier. Savoir aussi pouvoir se laisser charmer à écouter critiquer, au point de se laisser mystifier.

S'étonner de ne pas pouvoir considérer sans se laisser emporter à s'enthousiasmer ou à se réserver.

 

582. Réfléchir ou penser, au point de croire ou de se laisser abuser. Apprendre à s'étonner de pouvoir se laisser persuader sans résister. Et remercier de se le faire rappeler.

 

737. Universaliser pour persuader : se défier de toujours réinterpréter en sorte à se confirmer. Comme pour se prouver adhérer sans douter, en décidant de penser de manière à ne jamais pouvoir être contredit.

572. S'effrayer de s'illusionner, se convaincre de douter, pour finir par se tranquilliser en affirmant ne pas pouvoir toujours se tromper. Se légitimer de ne pas comprendre, en déclarant ne pas pouvoir toujours comprendre. Et de croire, en déclarant ne pas pouvoir toujours douter.

 

596. Agir ou penser sans douter, non pour refuser de douter et d'approfondir, mais pour agir, penser et vivre. Manquer de douter, sans même savoir s'en justifier. Et sans pourtant se tromper. Vivre, comme oublier de vérifier.

 

 

69. Devoir changer

 

227. Croire devoir passer. Croire devoir changer. Croire devoir s'améliorer. Croire ne pas pouvoir s'y soustraire.

 

532. Se laisser définir, puis croire devoir agir de sorte à confirmer.

Définir pour délimiter, et délimiter pour rigidifier. Ailleurs autrement : définir pour énumérer, pour doter ou pour étendre, etc.

 

894. Vivre ainsi et autrement. Se différencier ainsi et autrement. Admettre de ne pouvoir se reconnaître qu'en se dissociant, de ne pouvoir se réunir qu'en se dispersant.

Essayer, adopter ou non, puis recommencer autrement. Comme pour expérimenter et provoquer à se révéler.

 

359. Pour s'aider à apprendre ici, apprendre ailleurs, varier à apprendre. N'apprendre que pour s'intégrer et pouvoir appliquer ailleurs. Ne retenir que pour transposer. Ne transposer que pour nourrir ou générer.

 

98. S'accoutumer à suivre, et se perdre là où agir autrement. Pourquoi penser pouvoir procéder partout de même?

 

552. Savoir, comme universaliser et généraliser. Mais aussi comme s'imposer d'inventer ou de découvrir, et de renouveler ou de changer.

 

112. Contempler, et s'étonner de voir se transformer.

S'embrouiller à croire devoir inventer.

 

892.Pourquoi craindre d'être, de se définir, de ne plus varier? Pourquoi penser devoir errer et ne pas pouvoir mourir?

 

748. S'habituer, comme pour approfondir. Et s'y plaire, pour savoir devoir s'en aller.

 

 

70. Devoir croire

 

483. Pour croire, commencer par supposer. Puis faire exister sous prétexte d'avoir pu supposer et de s'être laissé paraître. Et finir par penser n'avoir pas supposé sous prétexte d'avoir pu faire exister et de croire apercevoir.

 

261. Supposer. Puis se mystifier : affirmer en croyant avoir dû supposer. Ensuite mythifier : universaliser, en croyant avoir dû affirmer.

 

621. Pour convaincre, commencer par inquiéter. Troubler, désordonner, faire craindre d'avoir à se soigner. Frapper en forçant à s'identifier. Puis amadouer en montrant comprendre et compatir. Et s'attacher en annonçant savoir guérir et sauver.

 

622. Choisir comment nommer de manière à entraîner à imaginer et à disposer à se convertir. Choisir comment se décrire de manière à se justifier de se convertir.

 

824. Être enclin, pour avoir entendu estimer. Aimer, pour avoir entendu aimer. Mépriser, pour avoir entendu mépriser, etc. Croire pour avoir cru le devoir. Pour s'être accoutumé et s'incliner sans y penser.

 

629. Penser devoir s'humilier pour se convertir, se mortifier pour s'améliorer. Se convaincre d'avoir déchu pour s'encourager à s'améliorer.

 

623. Écouter philosopher, en craignant d'être aliéné ou ensorcelé sans le savoir. Consentir à se laisser troubler, obscurcir, etc., pour bénéficier de se faire guérir et mieux se persuader. Comme pour s'effrayer après s'être barbouillé.

 

602. Mais pourquoi croire ne pas devoir croire?

 

 

71. Pouvoir servir

 

880. Penser ne pas pouvoir servir en pensant, sous prétexte de ne chercher qu'à s'affiner à penser?

Accepter de s'isoler pour expérimenter. Et finir peut-être, en s'isolant, par rejoindre et servir.

 

311. Croire ne pas pouvoir induire à changer en montrant comment penser. Croire être induit à changer autrement qu'en se faisant avertir.

 

749. Croire devoir ne pas servir, sous prétexte de croire ne pas pouvoir servir.

 

933. Valoriser et s'exprimer de manière à faire ressortir et à faire sentir. Faire signifier et montrer, sans avoir à dire. Philosopher et questionner de sorte à interpréter autrement.

Ne chercher qu'à contribuer à discuter. Essayer de pouvoir servir.

 

729. Écrire, en sachant pourtant ne pas pouvoir s'en servir pour attacher.

;Séduire, en dépit de se l'interdire, et à cause de cela. S'en servir pour montrer comment s'en dégager.

 

166. Savoir comment s'illusionner, non pour ne plus se berner, mais pour savoir en jouir.

Loin de désenchanter, démystifier pour enchanter.

160. Penser devoir jouir et ne pas souffrir. Sous prétexte de jouir de jouir et de souffrir de souffrir.

S'y conformer, mais déjà douter de pouvoir s'assurer de jouir ou de s'inquiéter. Douter de pouvoir s'assurer de servir.

 

 

72. Douter de manquer

 

283. Penser pour faire semblant d'être. Croire devoir être pour pouvoir faire semblant d'être. Penser être, faute de savoir douter de manquer.

 

255. Être ou apparaître? Pourquoi penser devoir toujours distinguer sous prétexte d'échouer parfois à se réaliser?

Pourquoi croire devoir trouver comment se définir plutôt que comment se distinguer?

 

176. Croire pouvoir toujours se décrire ainsi. Croire pouvoir toujours douter de devoir se décrire ainsi.

Mais pourquoi croire se décrire? Ou plutôt pourquoi douter d'être? Pourquoi douter de devoir se décrire ainsi?

 

296. Se croire tenu d'ajouter, d'embellir, de supposer, de conjecturer, etc. Au risque d'ôter, de gâter et de se méprendre. Savoir parfois ne pas ajouter sans obscurcir.

Et de même croire devoir s'efforcer de paraître, travailler à s'embellir, etc. en négligeant de vivre.

 

402. Penser pouvoir chosifier, penser pouvoir personnifier, déifier, nommer, etc. Pourquoi croire devoir se personnifier? Penser, ici en se personnifiant, et là non.

 

405. Se sentir enclin à se personnifier, pencher pour se substantiver, etc. Et souvent s'accommoder de le faire. Sans croire pourtant ne pas pouvoir y résister.

 

403. Choisir de valoriser de nommer et de personnifier, sans s'aveugler à croire ne pas pouvoir faire autrement. C'est-à-dire, en sachant pourquoi le choisir.

 

' 1.Penser devoir compléter. Oublier de s'empêcher de penser.

 

 

73. Changer de penser

 

63. Pour se demander ainsi, oublier de se demander autrement. Choisir comment se demander pour orienter comment s'incliner à répondre.

 

140. Chercher, non pas à interpréter n'importe comment, mais à interpréter autrement, à jouir de pouvoir faire signifier autrement et en même temps. Tenter d'expérimenter de –penser.

 

770. Choisir de s'exprimer de manière à se faire penser autrement. Se risquer à oublier l'avoir choisi. Et à croire ne plus pouvoir dire ou penser encore autrement.

 

696. S'imaginer pouvoir toujours penser autrement et chercher comment le faire. S'imaginer ne pas pouvoir toujours penser ainsi et rechercher où. Préjuger devoir penser ainsi. Et préjuger devoir penser autrement.

 

697. Suivre pour ne pas avoir à penser autrement. Savoir pour résister à se laisser tenter d'innover.

 

693. Penser ainsi, et déjà se laisser tenter à repenser de même. S'empêcher de penser autrement, en s'occupant à penser ainsi. S'accoutumer, se familiariser et finir par croire devoir.

 

498. Interpréter, penser autrement, et ainsi se détacher, s'apaiser. Pour supporter, voir comme. Voir autrement, et ainsi dédramatiser, dominer. Comprendre en se distanciant.

873. Lire, changer, et donc relire autrement. Penser, changer, et donc penser autrement.

Penser et repenser.

 

 

74. Devoir douter

 

568. Douter en dépit de ne pas devoir douter. Pour ironiser et montrer.

 

698. Penser devoir se répondre? S'interroger?

Douter pour avoir cru le devoir. Penser devoir s'inquiéter de ne pas savoir. Penser devoir accepter de ne pas savoir. Penser ne pas savoir en douter. Etc.

 

470. Dire sans savoir définir, se fonder sans savoir prouver, et pourtant sans plus douter qu'en ayant expliqué.

Au lieu de s'étonner de pouvoir utiliser sans pouvoir expliquer, s'étonner de préjuger devoir éclaircir et définir. De se fier à expliquer plus qu'à constater.

 

576. Croire pouvoir douter, faute de savoir définir ou de pouvoir prouver. Mais pourquoi penser devoir douter, sous prétexte de pouvoir douter?

Parfois se fier, sans devoir y consentir et sans avoir à expérimenter.

 

544. Prétendre fonder, relier, s'appuyer, se justifier, exhiber, etc. Et passer pour vouloir mythifier.

 

519. Croire s'illusionner toujours, pour s'illusionner parfois. S'imposer de se désillusionner, comme pour s'illusionner et se tromper autrement.

Penser s'illusionner, comme penser pouvoir penser autrement.

 

588. Admettre de devoir arrêter de vérifier et de justifier. Admettre d'arrêter de vérifier. Sans pourtant savoir justifier pourquoi ne pas mieux assurer en continuant de vérifier. Constater parfois obscurcir en continuant de vérifier.

 

 

75. Manquer de finir

 

990. Continuer de mourir? Ou s'arrêter de vivre? Devancer de mourir? Ou reculer de vivre?

 

722. Craignant de se perdre et de se disperser, croire devoir se définir et se déterminer. Mais pourquoi penser devoir se perdre, sous prétexte de ne pas vouloir se limiter et de dédaigner se laisser asservir?

Pour avoir voulu s'épanouir, n'avoir pas voulu se borner.

 

413. Connaître en s'efforçant de ne pas se restreindre. Ne pas s'acharner à travailler pour en finir. Comprendre avoir toujours à faire ou à refaire. S'habituer à n'en avoir jamais fini. Et au lieu de s'en désespérer, s'en réjouir comme de n'avoir pas encore fini de vivre.

 

293. Pourquoi vouloir imaginer ne pas pouvoir atteindre? Pourquoi choisir de s'exprimer de sorte à s'humilier et se convaincre de ne pas pouvoir finir? Et de quoi se priver? Et pourquoi croire se priver ou s'humilier?

 

97. Universaliser, comme pour en finir d'expliquer et enfin se reposer. Réduire et unifier, pour oublier de discerner et de diversifier. Adhérer jusqu'à croire en avoir fini de résoudre. Et pleurer d'avoir perdu de se questionner.

 

648. Se connaître pour se trouver, et se trouver pour se connaître. Et ainsi tourner en rond, en croyant devoir différencier.

Être, et donc se qualifier. Sans s'empêcher de se qualifier autrement. Sans vouloir en avoir jamais fini.

 

919. Aimer toujours autrement, pour apprendre à ne pas vénérer et se préserver de systématiser et de se conformer. Ainsi continuer d'aimer.

 

617. Manquer d'atteindre à force d'idéaliser et d'exiger. Manquer d'achever à force de trop vouloir. Et se résigner à ne pouvoir que s'arrêter, faute de pouvoir achever.

 

 

76. Douter de servir

 

867. Montrer comment penser? Ou montrer comment trouver comment penser et se diriger?

Douter de devoir agir ainsi, et douter encore plus de devoir essayer d'agir autrement. De là vivre en doutant de servir.

 

798. Chercher à se reposer, pour ne plus souffrir. Et aussitôt chercher à souffrir, pour ne pas mourir.

Vivre et souffrir assez pour chercher à s'apaiser. Jusque-là ne chercher qu'à s'inquiéter et à souffrir davantage.

 

721. Pour se rassurer et s'encourager à continuer, se convaincre de ne pas pouvoir servir. Ou de ne pas moins servir en pensant qu'autrement.

 

68. Répondre en questionnant, au risque de sembler refuser de dialoguer. Et de même sembler refuser de jouer, en ayant cru devoir refuser de faire semblant de comprendre. Refuser de faire semblant de vivre.

 

51. Croire fauter à continuer de s'interroger. Comme pour se laisser infantiliser.

Oser s'infantiliser à continuer de questionner. Comme pour s'étonner ou se révolter.

 

149. Craindre de n'arriver peut-être qu'à se distraire autrement. De s'initier à se divertir autrement.

 

123. Penser diviser et disperser, en voulant déplier et déplisser. Penser sans cesser de froisser et de déplisser, sans en finir de déchirer et de faufiler.

 

454. Épouser. Et finir par effondrer.

 

 

77. Se libérer de se libérer

 

841. Se libérer, ne plus se gêner, laisser aller.

Se libérer, se déterminer, ne plus se laisser aller.

 

816. S'asservir à se libérer, et se libérer en s'asservissant.

Se libérer en consentant à s'attacher et en s'assurant de pouvoir le faire.

 

859. Accepter de s'individualiser sans s'isoler, en ayant conscience d'appartenir. Accepter de différer, d'aimer sans croire devoir s'identifier. Ni mépriser sous prétexte de se démarquer, ni vénérer sous prétexte d'aimer.

 

740. Jouir, en sachant comment se procurer de jouir. Mais pourquoi penser devoir ne pas dépendre pour jouir?

 

801. Pourquoi vénérer de se libérer? Pourquoi se contenter de pouvoir penser se libérer? Pourquoi s'aliéner à vouloir s'échapper?

Démythifier de se libérer. Se libérer de se libérer.

 

177. Se contenter de décrire, de refléter et de plaire. Se rassurer de ménager, d'obéir et de conserver.

Se contenter de falsifier, de rompre et de détruire. Se rassurer de disperser, de pervertir et de gaspiller.

 

767. Penser se libérer pour avoir voulu le penser. Et se consoler de s'illusionner en s'imaginant y avoir participé.  Commencer par s'illusionner. Puis se montrer comment se libérer. Savoir se parler pour se sauver.

 

692. S'accoutumer pour s'affranchir et se libérer. Puis s'affranchir de s'accoutumer pour se libérer autrement.

Écrire pour échapper. Puis se guérir d'écrire. Et encore échapper. Où?

 

 

78. Croire se libérer

 

846. Croire devoir se soigner de penser. Croire n'avoir qu'à le reconnaître pour se guérir. Admettre de se soumettre pour se délivrer. Se laisser suggérer et persuader.

 

499. Disposer, agencer, ordonner. Et du coup se rassurer. Désangoisser, démystifier, en manipulant. Penser se libérer, en agençant autrement.

 

497. Généraliser, et ainsi n'être plus concerné, supporter. Se rassurer, en rattachant, en mythifiant, en voyant se répéter. Et ainsi, se rendormir et s'engourdir. Comme pour s'asservir.

 

768. Penser se libérer, en pensant transformer par penser. Penser pouvoir se dire se libérer, en pensant pouvoir se dire se transformer.

Camoufler, en croyant se libérer.

 

943. Admirer, vénérer, et s'aliéner. Rejeter, et s'aliéner encore.

Croire devoir s'interdire de vénérer, sans savoir pourquoi. Et continuer de s'aliéner, en s'interdisant de le faire, sans savoir pourquoi.

 

844. Choisir de s'intégrer, pour ne pas se laisser déformer. Choisir de se déterminer, de se gouverner, pour ne pas se –laisser entraîner. Penser se libérer en maîtrisant. Et penser s'abuser?

 

164. Croire se libérer, pour s'aider à se libérer. Se réjouir de penser pour se faciliter de penser. Se réjouir pour pouvoir. Ou pour se développer, ou ne plus subir, etc.

Se réjouir d'agir, agir en aimant, aimer pour se libérer, etc. Ne chercher qu'à trouver où se plaire à penser !

 

 

79. Vouloir changer

 

684. Croire savoir, sous prétexte de commencer à savoir. Et de hâter de changer pour apprendre n'avoir pas fini.

 

925. Croire pouvoir s'efforcer d'orienter. Croire devoir vouloir s'encourager à devenir.

 

248. Hésiter à devenir, en craignant de se priver de devenir autrement. Croire manquer de se laisser conduire ailleurs, et peut-être d'atteindre.

 

853. Aimer, et oublier d'aimer autrement.

Exprimer autrement, pour vouloir autrement. Faire signifier autrement, pour se comporter autrement. Penser autrement, pour s'y prendre autrement.

 

916. S'aveugler assez pour n'envier que de changer et de s'y étourdir. Pourquoi choisir de changer? Pourquoi vouloir changer et ne pas se contenter de le constater? Pourquoi imaginer de se faire être autrement?

 

194. S'attendre à voir toujours revenir et se répéter, en dépit de chercher à créer et à transformer. Et répéter de voir se répéter. Et s'assurer de devoir voir se répéter.

 

550. Travailler pour remédier à s'ennuyer d'exister. Chercher à changer et à devenir, à force de s'ennuyer.

 

528. Pourquoi croire devoir s'abstenir de varier ou de se contredire? Pourquoi obéir? Refuser de croire, pour chercher comment croire autrement.

 

531. S'inquiéter de ne pas savoir penser autrement. Trouver comment faire, et déjà s'étonner de ne plus s'y intéresser.

80. Vouloir savoir

 

674. Exister, comme sentir et vouloir, c'est-à-dire comme subir. Vouloir savoir pour en finir de vouloir et de subir.

Pourtant, souffrir, non pas de subir, mais de le savoir.

 

332. Croire ne pas comprendre et devoir apprendre : se faire dire, renoncer à imaginer, consulter comment définir, ... Comme pour se décevoir en banalisant, après avoir imaginé se délecter à sentir.

 

348. Vouloir savoir : croire ne faire et ne sentir qu'en le sachant, comme de vouloir toujours se déterminer.

 

354. Systématiser, en craignant de s'en remettre. Simplifier pour unifier et retrouver et ne pas se laisser intimider. Universaliser pour dominer. Feindre de dogmatiser. En exiger plus pour se laisser surprendre.

 

353. Interpréter de manière à retrouver. Trouver comment faire ressembler et réunir. Et se convaincre de devoir reconnaître. Dogmatiser, comme pour décider de méconnaître et choisir comment se restreindre de voir.

 

364. Perdre en théorisant : s'empresser de saisir, sans laisser vivre autrement. S'empresser de savoir, sans se laisser savoir autrement.

 

137. Pour éclaircir, trouver comment faire ressembler et comment faire différer. Puis douter de pouvoir se satisfaire de connaître en comparant et en reliant. Enfin douter d'avoir voulu éclaircir.

 

495. Croire ne pas pouvoir relier faute d'imaginer comment relier. Croire devoir opposer, pour avoir décidé d'opposer. Et se convaincre de ne pas devoir chercher à relier.

 

567. Demander à préciser. Comme pour se faire accuser de douter ou de vouloir désenchanter.

 

 

81. Finir de finir

 

972. S'interrompre de mourir? Ne travailler toujours qu'à accroître encore de désirer vivre? Se porter à désirer trouver?

 

963. Ne pas attendre de mourir : achever de mourir pour pouvoir commencer à vivre.

 

107. S'exalter de se risquer de vivre à en mourir.

 

661. Croire devoir se définir pour s'identifier et se reconnaître. Croire devoir se spécialiser pour se réaliser. Croire devoir se déterminer pour se prédire. Croire devoir se restreindre et se mutiler pour s'épanouir. Croire devoir renoncer et perdre pour gagner. Croire devoir se figer pour vivre ! Croire devoir finir !

 

370. Après s'être montré pencher à penser comme ci, penser devoir encore se montrer pourquoi y penser comme ça, etc.

 

908. Apprendre à mourir en vivant. Comme pour s'exténuer de fleurir ainsi, jusqu'à se faner sans cesser de vivre, avant de fleurir à nouveau. Se transformer, mais maintenant, sans attendre de ne plus pouvoir.

Craindre non pas de mourir, mais de cesser de mourir, de ne plus pouvoir mourir.

 

970. Apprendre à mourir pour pouvoir vivre. S'habituer à mourir sans se mutiler, comme pour mourir à mourir.

 

762. Se promettre de vivre, et dénoncer de faire semblant de vivre. N'espérer que de savoir choisir comment se parler.

 

964. Mourir, inachever de vivre.

Vivre, achever de mourir.

82. Vouloir se libérer

 

265. Pleurer moins de se laisser séduire que, s'étant laissé séduire, de ne plus s'ouvrir à se laisser séduire autrement. Douter de vouloir se libérer.

 

603. Mythifier d'éclaircir, de fonder, de certifier, de libérer, etc., de ne pas confondre, de ne pas mentir, de ne pas se tromper, etc. Croire devoir pouvoir se fonder à vouloir se libérer.

 

720. Croire devoir savoir pourquoi refuser de se soumettre et se défendre de s'asservir. Découvrir par où être assujetti, en vue de s'éveiller.

 

805. Pourquoi vouloir se libérer plutôt que s'asservir pour développer et créer? Pourquoi vouloir plutôt que montrer?

 

637. Philosopher pour se parler. Discuter voire se disputer, à la fois pour s'individualiser et pour se rapprocher. Pourquoi manquer de le comprendre, au point de vouloir voir cesser de philosopher?

 

212. Désobéir. Oser refuser de choisir. Oser refuser d'admettre. S'encourager à se libérer, etc.

Ou choisir d'obéir pour goûter à se libérer.

 

863. Pourquoi s'entraver? Piller pour s'incorporer. S'emparer pour dépasser. Risquer d'innover, pour essayer de se répondre. Faute de croire devoir toujours se conformer ou se justifier.

 

249. Travailler à s'autonomiser et à se faire tolérer, de manière à pouvoir poursuivre et continuer de penser sans se faire entraver.

Ne réclamer que d'être toléré.

 

310. Ne craindre que de se laisser tracasser au point de se laisser détourner de penser.

83. Finir de croire

 

826. Achever de croire : répéter jusqu'à se convaincre, s'habituer jusqu'à croire sans avoir à y penser, jusqu'à ne plus penser. Et jusqu'à ne plus recevoir de croire autrement.

 

263. Penser devoir s'empêcher de mythifier. Croire toujours mythifier. Mythifier de mythifier.

 

117. Toujours recommencer à se décourager de supposer et de préjuger ! Toujours s'encourager à innover et à se déshabituer ! Toujours s'imposer de se contraindre et de se forcer !

 

559. Croire devoir se vouer à ne pas croire pour pouvoir interroger.

 

264. Ne pas préjuger, pour ne pas obéir ni vénérer. Ne pas se laisser captiver à suivre et à admettre, ne pas se laisser fasciner, ne pas s'ensorceler, ne pas s'envoûter, ne pas mythifier, ne pas dépendre, etc.

Préjuger ne pas devoir préjuger, mythifier ne pas devoir mythifier, etc. Pour avoir oublié pourquoi s'interdire de préjuger.

 

942. Pourquoi s'interdire de supposer? De se contredire? De faire signifier? Etc.

Pourquoi supposer devoir se limiter pour penser? Et pourquoi supposer pouvoir le faire? Pourquoi, sinon pour pouvoir décider de s'interdire autrement?

 

167. Accueillir de se laisser distraire et de s'enrichir ainsi. Admettre de se laisser surprendre. Aimer se laisser amener à croire et à aimer.

 

494. Pour s'éveiller à critiquer, s'obliger à simplifier et à uniformiser. Comme pour se distancier et éclairer autrement. Et découvrir ou se révéler comment avoir postulé ou préjugé. Penser, comme rouvrir.

 

896. Finir de croire, pour enfin finir de douter.

84. Manquer de servir

 

998. Souffrir, s'ennuyer, ou mourir.

 

383. Échouer à force de douter. Manquer d'influencer faute de vouloir et de décider. Penser, produire et accumuler, sans pourtant arriver à servir et à signifier. Manquer de servir.

 

399. Regretter non de ne pas penser ou de ne pas vivre, mais de vivre ou de penser sans servir.

 

438. Pourquoi croire ne pas servir? Pourquoi idéaliser de servir au point de croire ne jamais servir? Pourquoi penser ne manquer pour se rassurer que de savoir comment servir et de définir comment servir? Pourquoi penser se rassurer en se mutilant?

 

449. Normaliser, comme pour déshumaniser. Individualiser, pour voir autrement, comme pour nuancer.

Et de même, trop aimer voir se diversifier et se différencier pour souhaiter servir ou influencer.

 

313. Ne pas se soucier de plaire, pour savoir pouvoir toujours réussir à plaire et à s'en contenter.

S'arranger pour ne pas intéresser, afin de tarder à fasciner. Ne craindre que de fasciner ou d'être récupéré.

 

505. Trouver à nouveau comment raconter de manière à s'inquiéter et ne pas s'endormir. Penser servir en inquiétant, plutôt qu'en semblant rassurer.

 

461. Redouter de ne plus s'interroger ou de se laisser aller à croire en avoir fini d'expliquer. Redouter de penser savoir.

Sans pour autant se sentir tenu de travailler à résoudre.

 

 

85. Finir de pouvoir

 

888. Se différencier pour devenir : accepter à la fois de mourir et de se distinguer, de se particulariser.

Mûrir, comme dégénérer. Gagner de vivre, mais aussi d'en mourir. En se dépensant à vivre, et en perdant de mûrir autrement.

 

686. Croire mourir deux fois à se différencier : mourir à se différencier autrement, et, en acceptant de vivre, mourir de se dépenser.

 

688. Refuser de se définir ou de se déterminer, en croyant devoir ne plus y revenir. Refuser plutôt d'en finir de se définir: continuer à vivre et à se déterminer.

 

687. Hésiter à devenir et à se différencier. En refusant de se disposer à mourir et de renoncer à devenir autrement. Attendre en désirant évoluer. Douter et hésiter, en refusant de vivre.

 

689. Croire se libérer en essayant d'échapper à se laisser définir, pour échapper à mourir. Croire échapper à se mutiler en refusant de se différencier.

Et ainsi refuser d'être et de vivre. Ou plutôt être et vivre, mais en se disposant à subir.

 

509. Renoncer à pouvoir pour se spécialiser. Renoncer à pouvoir se spécialiser autrement et à se développer autrement. Accepter de se suffire de se spécialiser. Accepter de commencer par se limiter, en s'adaptant.

 

869. Mourir comme finir de pouvoir. Se libérer et se révéler en achevant d'agir et en mourant.

 

911. Vivre, comme se métamorphoser. Comme se réjouir d'être et de toujours recommencer. Expérimenter, explorer, en sachant devoir quitter et sans s'en effrayer. Mourir à expérimenter ici, pour expérimenter ailleurs.

 

896. Finir de pouvoir, pour enfin finir de manquer.

 

86. Croire savoir

 

996. Concevoir, nommer, de manière à pouvoir feindre de s'interroger et condescendre à expliquer.

 

57. Feindre de savoir et d'en avoir fini de penser. Comme pour se prémunir contre penser.

Expliquer. Puis recommencer pour se satisfaire autrement.

 

355. Croire. Sans pourtant savoir. Croire savoir ou se justifier de le croire. Et manquer pourtant de savoir.

 

59. Penser ne jamais comprendre sous prétexte de ne pas comprendre pourquoi comprendre ni comment comprendre?

 

221. Croire connaître, croire comprendre ou croire devoir accepter. Sous prétexte de se sentir enclin à devoir le croire, ou de ne pas imaginer comment en douter. Ou pour se conformer, etc.

 

343. Croire savoir. Comme pour se décourager de continuer à chercher à savoir.

 

266. Croire se séduire en prétendant démythifier ou en se laissant entendre savoir comment se limiter à interpréter et comment devoir décrire. Croire se paralyser, s'atrophier. Se décourager de continuer à expliquer, à démythifier, à penser, etc.

 

77. Pour s'aider à comprendre, s'imaginer éclaircir. Penser avoir éclairci, pour avoir décidé de le considérer ainsi. Penser connaître, afin de s'en servir pour continuer d'expliquer.

 

351. Simplifier, uniformiser, généraliser, pour s'aider. Faire ressembler, assimiler, amalgamer, pour prévoir et manipuler. Croire savoir, en se laissant ensorceler de pouvoir universaliser. Redouter de penser savoir.

 

87. Croire douter

 

86. Pour se convaincre, commencer par douter. Puis sembler constater en dépit de douter. En déduire devoir croire, et prétendre ne plus pouvoir douter.

 

50. Penser pour s'être laissé dire.

Penser pour avoir dû admettre et ne pas avoir continué d'examiner, pour s'être laissé persuader et ne pas avoir continué d'expliquer. Croire douter pour enfin s'assurer.

 

610. Douter, comme pour se légitimer de croire : se persuader de s'être laissé mentir et abuser, croire douter ou faire semblant de douter, et finir par se retrouver.

 

135. Croire douter, ne pas douter de douter, et pourtant continuer à penser de même. Faute de savoir où douter.

 

466. Croire ne pas interpréter sans douter. Et s'étonner de pouvoir s'inquiéter par penser.

 

548. S'apeurer de ne pas savoir se fonder. Imaginer ne pas pouvoir certifier sans se fonder. S'inquiéter de devoir douter, faute de savoir se fonder une fois pour toutes. Croire devoir fonder, unifier, idéaliser, etc.

 

619. Croire douter, croire ne pas pouvoir s'assurer, de sorte à pouvoir prophétiser.

 

161. Pourquoi croire devoir se désoler de penser? Pourquoi croire devoir se désespérer de s'interroger? Et pourquoi croire devoir s'interdire de se réjouir? Pourquoi se vouer à se chagriner et à se dépiter? A s'ennuyer? A se désespérer?

 

786. S'entraider pour s'affirmer, pour se gratifier et se sécuriser. Partager de douter pour s'entraider.

 

 

 

 

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